Arthur Schnitzler

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Arthur Schnitzler (1862-1931)

Dramaturge et prosateur, Arthur Schnitzler (* 15 mai 1862, à Vienne, † 21 octobre 1931, à Vienne) fait partie des écrivains qui incarnent la « modernité viennoise » et une littérature considérée comme caractéristique de l’esprit autrichien. Son œuvre est en partie influencée par son vif intérêt pour la culture française et ses nombreuses lectures d’auteurs français. Quant à sa réception en France, elle est fortement marquée par des intermédiaires comme Berta Zuckerkandl et Suzanne Clauser (ps. Dominique Auclères), mais elle reste partielle et se concentre sur quelques-unes de ses nombreuses œuvres (en tout une soixantaine d’œuvres en prose et une trentaine de pièces de théâtre).

Sa formation et l’importance de la culture française

Issu de la grande-bourgeoisie juive libérale assimilée, Arthur Schnitzler reçoit une éducation typique de sa classe sociale et fréquente, comme quelques années après lui, Hugo von Hofmannsthal, le célèbre Akademisches Gymnasium de Vienne, où le français occupe encore une place importante. L’ambiance dans laquelle il grandit, l’effervescence culturelle du dernier tiers du XIXe siècle, mais aussi les débuts de la montée de l’antisémitisme se reflètent dans son autobiographie Jugend in Wien (Une jeunesse viennoise).

Avant de se faire un nom comme écrivain, Schnitzler fait, conformément aux vœux de son père, Johann Schnitzler (1835–1893), un célèbre laryngologiste, des études de médecine et devient, à partir de septembre 1885, assistant à l’hôpital général et à la Polyclinique de Vienne. À l’université de Vienne, il suit, avec quelques années de distance, plus ou moins les mêmes cours que Sigmund Freud (1856–1939), de six ans son aîné, avec lequel il partage l’intérêt pour les mystères de l’âme et la connaissance des travaux de Hippolyte Bernheim[1] (1840–1919) sur l’hypnose et de Jean-Martin Charcot[2] (1825–1893) auxquels il s’intéresse aussi en tant que rédacteur de la revue Internationale Klinische Rundschau fondée par son père.

Dès ses jeunes années, Schnitzler montre, comme d’ailleurs Hofmannsthal, un vif intérêt pour la langue et la culture françaises, l’héritage des Lumières[3], un intérêt qui apparaît clairement dans ses lectures. Grâce à son Tagebuch, sa correspondance et, surtout, grâce à la Leseliste (la liste de ses lectures) éditée par Achim Aurnhammer[4], on dispose d’informations assez précises sur ses préférences en matière de lecture. Parmi les œuvres en langues étrangères, les littératures romanes sont les plus citées et, parmi elles, la littérature française arrive largement en tête avec 182 entrées (contre 16 pour l’Italie et 10 pour l’Espagne), également en tenant compte d’autres littératures (57 pour les littératures scandinaves, qu’il affectionne particulièrement, 51 pour la littérature anglophone, 34 pour la littérature russe). Parmi les auteurs français, Balzac devance avec 24 œuvres lues Zola (19) et Maupassant (18), mais on y trouve aussi, entre autres, Gustave Flaubert[5], Édouard Dujardin[6], Catulle Mendès[7]… et Voltaire. Cette prédilection pour la littérature française n’est pas propre à Schnitzler, elle correspond au goût des écrivains de la « modernité viennoise » en général. Ses lectures sont aussi une source d’inspiration et on les retrouve dans les rapports intertextuels, par exemple avec Madame Bovary (dans la nouvelle Les morts se taisent), Yvette de Guy de Maupassant (dans Mademoiselle Else), avec le vaudeville français et le dramaturge Victorien Sardou (dans le cycle Anatole) et, surtout, avec Les Lauriers sont coupés d’Édouard Dujardin (1887), qui lui a inspiré le monologue intérieur (Lieutenant Gustl et Mademoiselle Else).

Malgré cet intérêt prononcé pour la culture française, Schnitzler – qui a pourtant beaucoup voyagé – a effectué peu de voyages en France, des voyages qui ont d’ailleurs tous lieu avant qu’il ait atteint l’âge de quarante ans, à un moment donc où sa carrière d’écrivain est encore (presque) à ses débuts : en dehors de vingt-quatre heures passées à Paris en mai 1888, lors de son voyage à Londres, et un bref séjour au printemps 1901 sur la Côte d’Azur, son plus long séjour en France est le voyage qu’il fait en 1897 avec son amie Marie Reinhard à Paris, où il restera sept semaines, d’avril à fin mai. (Autant que par son intérêt pour la France, ce voyage est cependant aussi dicté par les circonstances, à savoir sa volonté de cacher la grossesse de son amie à son entourage viennois ). Ces brefs séjours sont pour Schnitzler néanmoins des occasions d’approfondir ses connaissances de la culture française et d’exprimer aussi bien son enthousiasme (comme dans la lettre à Richard Beer-Hofmann du 20 mai 1897) que sa critique (sévère) des auteurs dramatiques français contemporains visant surtout des auteurs de second ordre comme Maurice Donnay[8], Paul-Gustave Guiche[9] et Paul Hervieu[10] (lettre à Otto Brahm[11] du 23 mai 1897).

L’accueil réservé à Schnitzler en France

La volonté que ses œuvres soient traduites dans des langues étrangères, notamment en français, devient manifeste dès l’instant où Schnitzler décide, après la mort de son père en 1893, d’abandonner progressivement son métier de médecin pour se consacrer entièrement à son œuvre littéraire. L’accueil de l’œuvre de Schnitzler en France se déroule dès lors en trois phases importantes : les années 1894–1914, la période allant d’environ 1925 à 1938, ainsi que sa redécouverte dans les années 1980 qui lui assure sa présence actuelle auprès du public français. C’est par la traduction de Les emplettes de Noël (Weihnachtseinkäufe, 1891), une saynète du cycle Anatole, par Henri Albert dans la revue L’Idée libre (mai–juin 1894) et de la nouvelle Mourir (Sterben, 1894/95) par Gaspard Vallette dans le feuilleton de la revue genevoise Semaine littéraire (avril–juin 1895, puis, en 1896, sous forme de livre à Lausanne chez Payot et à Paris chez Perrin) que Schnitzler entre, grâce aux contacts de son ami Paul Goldmann (1865–1935) , alors correspondant de la Frankfurter Zeitung à Paris, dans le champ littéraire français. Avant la Grande Guerre, plusieurs nouvelles et plusieurs pièces en un acte (mais pas les grands drames comme Der einsame Weg ou Das weite Land) sont publiées dans des journaux et dans des revues littéraires, voire mises en scène (entre autres, au Théâtre Antoine, Die Gefährtin / La Compagne traduite par Maurice Vaucaire[12] en 1902 et Der grüne Kakadu / Le Perroquet vert traduite par Stéphane Epstein et Émile Lutz[13] en 1903). La maison d’édition Stock publie par ailleurs (sous forme de livre) en 1912 La Ronde (trad. Maurice Rémon[14] et Wilhelm Bauer) et en 1913 Anatole (trad. Maurice Rémon et Maurice Vaucaire). Cet intérêt grandissant pour Schnitzler s’arrête net avec le déclenchement de la guerre et, après 1918, met du temps à être réactivé.

Arthur Schnitzler avec Suzanne Clauser et Olga Schnitzler (1931)

C’est par la prose que Schnitzler retrouve le public français, d’abord grâce aux relations de Berta Zuckerkandl, puis grâce aux activités de Suzanne Clauser, à qui Schnitzler donne, en 1931, le plein pouvoir pour tout ce qui concerne les traductions en français : le succès arrive avec la nouvelle monologuée Fräulein Else (1924), qui paraît dès 1926 chez Stock dans une traduction de Clara Katharina Pollaczek et connaît deux rééditions en 1929 et 1932. En dehors d’une nouvelle traduction de Mourir (1925) par Alzir Hella et Olivier Bournac et des premières traductions de Madame Beate et son fils (1929) par le duo Hella/Bournac et Le Retour de Casanova (1930) par M. Rémon, il faut noter surtout la traduction rapide par Suzanne Clauser du roman Therese (1928) qui paraît en 1931 chez Albin Michel, sous le titre complet Thérèse. Chronique d’une vie de femme, avec une préface de l’historien de l’art Louis Gillet[15]. Clauser réussit aussi à faire paraître bon nombre de nouvelles dans des revues comme Gringoire, Candide et Revue de France et publie deux recueils de nouvelles chez Stock, La Pénombre des âmes (1929, avec une préface du germaniste Félix Bertaux[16]) et L’Appel des ténèbres (1932, comprenant outre la traduction de « Flucht in die Finsternis » encore « La Flûte du pâtre » et « Le Lieutenant Gustel », ainsi qu’une préface de Paul Géraldy). Quant au théâtre, les directeurs et metteurs en scène s’intéressent surtout à La Ronde, mais, exigeant qu’une de ses autres pièces soit montée avant Reigen, Schnitzler refuse toutes les propositions ; on assiste alors à un véritable conflit « Reigen contre Weites Land[17] », et Schnitzler ne verra plus les trois mises en scène qui se succèdent sur les scènes parisiennes en 1932/33 : Anatole mis en scène au Théâtre de l’Avenue par Georgette Boner[18] et Michel Tchékhov[19] (le neveu de l’écrivain russe), La Ronde et Liebelei/Amourette, montées par Georges Pitoëff[20] respectivement au Théâtre de l’Avenue et au Théâtre du Vieux-Colombier. Les représentations de La Ronde ont été possibles grâce au fait que Suzanne Clauser détenait les droits français et n’était pas liée à l’interdiction que Schnitzler avait émise sur Reigen, ce qui a aussi profité à l’adaptation cinématographique des dix dialogues que Max Ophüls a réalisée en 1950.

Après la Seconde Guerre mondiale, la reprise est timide, avec la traduction par Suzanne Clauser (sous le nom de Dominique Auclères) de Dernières cartes (Spiel im Morgengrauen, 1926/27) et Rien qu’un rêve (Traumnovelle, 1925/26) en 1953. Les choses changeront dans les années 1980 : la mort de Suzanne Clauser (et le fait que ses héritiers rendent les droits exclusifs pour la France à la famille Schnitzler) ouvre la voie à de nouvelles traductions, et Schnitzler profite – comme beaucoup d’écrivains et d’artistes autrichiens – de la lumière jetée sur toute la culture autrichienne de la fin du XIXedébut du XXe siècle notamment par la remarquable exposition Vienne 1880–1938 au Centre Pompidou en 1986. Ce focus sur « Vienne fin de siècle » explique le choix du titre de la première traduction du roman Der Weg ins Freie (1908) en 1985 par Robert Dumont chez Stock : Vienne au crépuscule.

Si Schnitzler n’a pas eu l’honneur d’entrer dans la prestigieuses édition de la Pléiade – contrairement à Stefan Zweig –, il faut saluer l’édition, en 1994 et 1996, de deux volumes Romans et nouvelles sous la direction de Brigitte Vergne-Cain[21] et Gérard Rudent[22] dans la collection populaire « La pochothèque » (Livre de poche) ; en édition individuelle, plusieurs œuvres narratives sont toujours disponibles, notamment Mademoiselle Else, Traumnovelle (dont il existe trois traductions différentes : Rien qu’un rêve [Dominique Auclères, 1953, avec de nombreuses rééditions, dont celle chez Pocket en 1999 avec le scénario du film de Stanley Kubrick, Eyes Wide Shut], La Nouvelle rêvée [Philippe Forget[23], 1991], Double-rêve [Pierre Deshusses[24], 2010, traduction qui a servi aussi à la version française du roman graphique Nouvelle de rêve de Jakob Hinrichs[25], 2014]), Vienne au crépuscule, Le Lieutenant Gustel, etc. À noter également la traduction des aphorismes par Pierre Deshusses en deux volumes : Relations et solitudes (1988, rééd. 1991) et La Transparence impossible (1990, rééd. 1992).

Pour ce qui est du théâtre, une grande partie des pièces de Schnitzler a été traduite aux éditions Actes Sud par Heinz Schwarzinger / Henri Christophe qui y a publié en 1989 une présentation globale de son théâtre sous le titre Arthur Schnitzler, auteur dramatique 1862-1931. Si, depuis les années 1980/90, la présence de Schnitzler sur les scènes françaises est constante, elle concerne essentiellement La Ronde : ainsi, la plateforme Les Archives du spectacle[26] recense une trentaine de mises en scène de ces dix dialogues depuis 1983. En dehors de cela, on note surtout la présence des saynètes d’Anatole et de plusieurs adaptations de Mademoiselle Else, ainsi que le désamour persistant pour les « grandes » pièces de Schnitzler : les deux mises en scène de Luc Bondy Terre étrangère (Das weite Land) en 1984 au Théâtre des Amandiers à Nanterre et Le Chemin solitaire (Der einsame Weg) en 1989 au Théâtre Renaud-Barrault sont restées sans lendemain, comme celle des Journalistes (Fink und Fliederbusch) par Jorge Lavelli[27] en 1994 au Théâtre de la Colline ; et si les représentations en 2017 et 2018, à Rennes, à Sceaux (région parisienne) et à Lyon, du Professor Bernhardi de Thomas Ostermeier[28] (en langue allemande avec surtitres) ont eu un grand retentissement, on attend toujours une mise en scène « française » de cette « comédie » (dont Henri Christophe a publié en 2023 une adaptation raccourcie sous le titre Cabale à l’hôpital aux éditions du Brigadier).

L’intérêt du public français pour l’œuvre de Schnitzler est aussi alimenté par des adaptations sur le grand et le petit écran : dès 1932/33, Max Ophüls obtient un grand succès avec Liebelei, dont il tourne une version allemande et une version française, avant de proposer en 1950 une inoubliable Ronde avec de grandes vedettes du cinéma français (Jean-Louis Barrault[29], Gérard Philipe[30], Simone Signoret[31], entre autres). Le remake de Liebelei par Pierre Gaspard-Huit[32] sous le titre Christine en 1958 ne vaut que par le duo « de rêve » Romy Schneider[33] (dont la mère, Magda[34], a joué en 1932 le même rôle, Christine) – Alain Delon[35] qui, en 1991 incarne Casanova dans Le Retour de Casanova d’Édouard Niermans[36]. De son côté, Stanley Kubrick[37] a relancé, en 1999, avec Eyes Wide Shut l’intérêt pour Schnitzler et a contribué à renouveler, voire à confirmer certains préjugés sur l’écrivain[38]. Quant au petit écran, des saynètes du cycle Anatole ont fait l’objet d’adaptations télévisuelles, tout comme Liebelei, Spiel im Morgengrauen et Komtesse Mitzi[39].

Notons aussi que les éditions Fayard ont consacré un volume de leur collection « Histoire contemporaine » à Schnitzler : publiée en 2007, cette biographie « grand public » de l’écrivain est signée Catherine Sauvat[40].

La critique journalistique et universitaire

Conscient de l’importance de la presse, Schnitzler s’est abonné à L’Observer, un service qui lui a fourni les articles parus sur lui et son œuvre ; cette collection est conservée à la Bibliothèque universitaire d’Exeter[41] et digitalisée par la Österreichische Akademie der Wissenschaften[42]. Pour ce qui est de la France, le choix des œuvres traduites (au début essentiellement des pièces en un acte et des nouvelles) explique que Schnitzler a été considéré longtemps (et l’est encore souvent) comme le « maître de la petite forme ». À cela s’ajoutent deux autres topoï de la réception critique (journalistique) : 1) le caractère « latin », « roman » de son œuvre, qui la rapproche de « l’esprit français » et sert – surtout dans les années 1920/30 – à opposer culturellement l’Autriche et l’Allemagne, 2) son association avec la modernité viennoise, qui reprend, d’une part, le topos de la « latinité » de la culture autrichienne et insiste, d’autre part, sur la proximité de Schnitzler avec Freud, ce qui fait de lui un « clinicien de l’âme » (dès 1927 – et même avant qu’elle ne soit traduite en français –, Traumnovelle est présentée dans un article du Journal des Débats du 4 mars 1927 par Maurice Muret[43] comme une nouvelle « freudienne »). Le germaniste Félix Bertaux introduit, dans sa préface au recueil La Pénombre des âmes (1929, nombreuses rééditions), à propos de Schnitzler la formule du « naturalisme qui sent bon » et renforce l’idée que Schnitzler ne serait autre qu’un « Maupassant autrichien ». L’écrivain viennois est également associé à la « joyeuse Apocalypse » et à Vienne comme « laboratoire de la fin du monde » (Roland Jaccard) et il est dépeint comme un analyste de la société bourgeoise qui inspecte l’envers du décor.

Dans le domaine universitaire, Françoise Derré, avec sa volumineuse monographie Arthur Schnitzler, imagerie viennoise et problèmes humains parue en 1966, a jeté les bases des études schnitzleriennes en France ; des approches plus récentes sont dues notamment à Jacques Le Rider, entre autres grâce à ses travaux sur la modernité viennoise (Modernité viennoise et crises de l’identité, 1990, rééd. 2000), sur le Tagebuch (Journaux intimes viennois, 2000), sa synthèse Arthur Schnitzler ou la Belle Époque viennoise (2003), auxquels il faut ajouter La censure à l’œuvre : Freud, Kraus, Schnitzler (2015). Wolfgang Sabler a fourni avec son Arthur Schnitzler, écriture dramatique et conventions théâtrales (Berne etc., P. Lang, 2002) une analyse précise de l’œuvre dramatique de l’écrivain viennois, y compris des influences françaises. Dans sa thèse (non publiée) Le théâtre d’Arthur Schnitzler. Traductions et mises en scène françaises[44], Florence Hetzel analyse les adaptations françaises d’Anatole, Liebelei et La Ronde et compare les mises en scène autrichiennes et françaises de ces pièces.

Références et liens externes

  1. http://www.professeurs-medecine-nancy.fr/Bernheim_H.htm
  2. https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/75388
  3. Sforzin in : Sforzin/Zieger (dir.) 2013
  4. Aurnhammer 2013b
  5. https://maitron.fr/spip.php?article30979
  6. https://cths.fr/an/savant.php?id=101488
  7. https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/258455
  8. http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/maurice-donnay
  9. https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/175613
  10. https://cths.fr/an/savant.php?id=121648
  11. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12052976p
  12. https://www.leonore.archives-nationales.culture.gouv.fr/ui/notice/368018
  13. https://data.bnf.fr/fr/13006983/emile_lutz/
  14. https://data.bnf.fr/fr/ark:/12148/cb11921460g
  15. http://www.academie-francaise.fr/les-immortels/louis-gillet
  16. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11891637s
  17. Zieger 2012
  18. https://hls-dhs-dss.ch/fr/articles/046667/2002-11-08/
  19. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12596658k
  20. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb14653272x
  21. https://www.babelio.com/auteur/Brigitte-Vergne-Cain/63628
  22. https://www.babelio.com/auteur/Gerard-Rudent/97012
  23. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12379369c
  24. https://www.babelio.com/auteur/Pierre-Deshusses/91534
  25. http://illustration.jakobhinrichs.com/
  26. https://lesarchivesduspectacle.net/
  27. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119114174
  28. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb14654962s
  29. http://maitron.fr/spip.php?article15760
  30. http://maitron.fr/spip.php?article139112
  31. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11924735t
  32. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12013446s
  33. https://www.dictionnaire-creatrices.com/fiche-romy-schneider
  34. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11924080q
  35. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13893132f
  36. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13987833n
  37. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb119101579
  38. voir Giboux in : Sforzin/Zieger (dir.) 2013
  39. voir Cagneau in : Sforzin/Zieger (dir.) 2013
  40. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb121159595
  41. https://librarysearch.exeter.ac.uk
  42. https://schnitzler-zeitungen.acdh.oeaw.ac.at/
  43. https://cths.fr/an/savant.php?id=117045
  44. https://theses.fr/2000STR20057

Bibliographie

Littérature primaire

  • Tagebuch 1879–1931, sous la direction de Werner Welzig. Vienne : Österreichische Akademie der Wissenschaften, 10 vol., 1987–2000. Online : Arthur Schnitzlers Tagebuch online – Arthur Schnitzler-Gesellschaft
  • Briefe : Briefe 1875–1912, éd. par Therese Nickl et Heinrich Schnitzler. Francfort-sur-le-Main : S. Fischer 1981 ; Briefe 1913–1931, éd. par Peter Michael Braunwarth, Richard Miklin, Susanne Pertlik et Heinrich Schnitzler. Francfort-sur-le-Main : S. Fischer 1984.
  • Briefe digital : schnitzler-briefe URL:https://schnitzler-briefe.acdh.oeaw.ac.at/

Littérature secondaire

  • Aurnhammer, Achim : Arthur Schnitzlers intertextuelles Erzählen. Berlin Boston : De Gruyter 2013 (a).
  • Aurnhammer, Achim : Arthur Schnitzlers Lektüren. Leseliste und virtuelle Bibliothek. Würzburg : Ergon 2013 (b).
  • Dayag, Joseph H. : « Schnitzler in französischer Sicht », dans : Herbert W. Reichert et al. (dir.) : Studies in Arthur Schnitzler. Centennial Commemorative Volume : Chapel Hill 1963.
  • Derré, Françoise : « Schnitzler und Frankreich », Modern Austrian Literature 19, no1 (1986), p. 27–48.
  • Jürgensen, Christoph et al. (dir.) : Schnitzler-Handbuch, Leben – Werk – Wirkung. Stuttgart, Berlin : J.B. Metzler ²2022.
  • Sforzin, Martine, Zieger, Karl (textes réunis par) : Les relations d’Arthur Schnitzler avec la France, Germanica no52 (2013) ; ce numéro contient notamment Martine Sforzin : L’empreinte de la France chez Arthur Schnitzler et Hugo von Hofmannsthal, p. 37–51 ; Irène Cagneau : Les adaptations de Schnitzler à la télévision française (1956-1979), p. 113–131 ; Audrey Giboux : De quelques lectures de Schnitzler dans la critique consacrée à Eyes Wide Shut, p. 133–145.
  • Zieger, Karl : Arthur Schnitzler et la France 1894-1939. Enquête sur une réception. Villeneuve d’Ascq : PU du Septentrion 2012.


Auteur

Karl Zieger

Mise en ligne : 01/03/2025