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En 1948, étudiant aux Beaux-Arts de Vienne, Hundertwasser déclare à son condisciple Ernst Fuchs<ref>https://www.geschichtewiki.wien.gv.at/Ernst_Fuchs_(Maler)</ref> (1930-2015) : « [...] Oui, oui, il faut absolument que nous allions à Paris, tu sais, là-bas, on nous comprendra<ref>Koschatzky et al., 1974, 23-24</ref> ». Interrompant sa formation, il entreprend un voyage en Italie, fondateur à plus d’un titre, car au-delà̀ des découvertes artistiques se produit en 1949 une rencontre cruciale : « Je n’étais qu’un petit Autrichien insignifiant lorsque je rencontrai Brô, Micheline et Bernard en Toscane<ref>Hundertwasser 1996</ref> ». L’artiste observe qu’ils « étaient absolument différents de tous les autres mortels […] ». Leur apparence « n’avait en soi rien du pittoresque bohème, mais avait le sérieux du pionnier d’un monde meilleur, infiniment plus beau et plus juste<ref>Fürst 2002, 165</ref> ». Une amitié très forte lie aussitôt Hundertwasser et René Brault, dit Brô<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13194189f</ref> (1930-1986). Ce peintre français à la « richesse d’imagination performante, vestimentaire, picturale, philosophique et littéraire, et [aux] performances humaines<ref>ibid.</ref> » exerce une influence considérable sur la philosophie de vie de Hundertwasser. Cela se manifeste notamment dans l’économie des matériaux utilisés et sa revendication d'un mode de vie précaire. Cette influence s'étend également à son art : « Car à ce moment, ma vie a vraiment commencé́. Je leur dois ma naissance comme peintre<ref>Hundertwasser 1996</ref> ». Hundertwasser opte alors pour son nom d’artiste et suit son nouvel ami à Paris. Pendant sept ans, la famille Dumage, amie de Brô, héberge gratuitement Hundertwasser dans sa propriété à Saint-Mandé-sur-Seine. Sous l’influence des fresques admirées en Toscane, les deux amis y réalisent ensemble deux grandes peintures murales. En 1955, Hundertwasser y produit son œuvre emblématique ''Le grand chemin – Der große Weg'' (Österreichische Galerie, [[Belvedere]], Vienne). Il travaille également dans l’atelier de Brô, impasse des Sureaux, à Saint-Maurice. Afin de rejoindre les galeries de peinture, Hundertwasser emprunte une bicyclette aux Dumage : « J’aime les bicyclettes, parce qu’à Paris, durant quatre ans, j’ai circulé partout en vélo<ref>Hundertwasser 1983, 103</ref> ». Ce moyen de transport va nourrir sa réflexion esthético-philosophique.
En 1948, étudiant aux Beaux-Arts de Vienne, Hundertwasser déclare à son condisciple Ernst Fuchs<ref>https://www.geschichtewiki.wien.gv.at/Ernst_Fuchs_(Maler)</ref> (1930-2015) : « [...] Oui, oui, il faut absolument que nous allions à Paris, tu sais, là-bas, on nous comprendra<ref>Koschatzky et al., 1974, 23-24</ref> ». Interrompant sa formation, il entreprend un voyage en Italie, fondateur à plus d’un titre, car au-delà̀ des découvertes artistiques se produit en 1949 une rencontre cruciale : « Je n’étais qu’un petit Autrichien insignifiant lorsque je rencontrai Brô, Micheline et Bernard en Toscane<ref>Hundertwasser 1996</ref> ». L’artiste observe qu’ils « étaient absolument différents de tous les autres mortels […] ». Leur apparence « n’avait en soi rien du pittoresque bohème, mais avait le sérieux du pionnier d’un monde meilleur, infiniment plus beau et plus juste<ref>Fürst 2002, 165</ref> ». Une amitié très forte lie aussitôt Hundertwasser et René Brault, dit Brô<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb13194189f</ref> (1930-1986). Ce peintre français à la « richesse d’imagination performante, vestimentaire, picturale, philosophique et littéraire, et [aux] performances humaines<ref>ibid.</ref> » exerce une influence considérable sur la philosophie de vie de Hundertwasser. Cela se manifeste notamment dans l’économie des matériaux utilisés et sa revendication d'un mode de vie précaire. Cette influence s'étend également à son art : « Car à ce moment, ma vie a vraiment commencé́. Je leur dois ma naissance comme peintre<ref>Hundertwasser 1996</ref> ». Hundertwasser opte alors pour son nom d’artiste et suit son nouvel ami à Paris. Pendant sept ans, la famille Dumage, amie de Brô, héberge gratuitement Hundertwasser dans sa propriété à Saint-Mandé-sur-Seine. Sous l’influence des fresques admirées en Toscane, les deux amis y réalisent ensemble deux grandes peintures murales. En 1955, Hundertwasser y produit son œuvre emblématique ''Le grand chemin – Der große Weg'' (Österreichische Galerie, [[Belvedere]], Vienne). Il travaille également dans l’atelier de Brô, impasse des Sureaux, à Saint-Maurice. Afin de rejoindre les galeries de peinture, Hundertwasser emprunte une bicyclette aux Dumage : « J’aime les bicyclettes, parce qu’à Paris, durant quatre ans, j’ai circulé partout en vélo<ref>Hundertwasser 1983, 103</ref> ». Ce moyen de transport va nourrir sa réflexion esthético-philosophique.


[[File:HundertwasserDumage.png||thumb|Hundertwasser avec ses œuvres avant l'ouverture de son exposition au Studio Facchetti, Paris, 1954 (Photo d'Augustin Dumage) © 2024 Hundertwasser Archiv, Wien]]
[[File:HundertwasserDumage.png|left|thumb|Hundertwasser avec ses œuvres avant l'ouverture de son exposition au Studio Facchetti, Paris, 1954 (Photo d'Augustin Dumage) © 2024 Hundertwasser Archiv, Wien]]
À cette période, Hundertwasser crée une véritable sensation dans les avant-gardes de Saint-Germain-des-Prés et remporte un succès incontestable dans les grandes galeries. Pour le catalogue de son exposition au Studio Facchetti<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12493448t</ref> (1954), filant la métaphore de la bicyclette, il rédige un manifeste dont la thématique peut être considérée comme la pierre angulaire de son œuvre : La ligne droite mène à l’effondrement<ref>Hundertwasser 1983, 64-65</ref>. En 1954, avec Brô et Yves Klein<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb120471634</ref> (1928-1962), il fait la connaissance de Pierre Restany<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11921608x</ref> (1930-2003), critique et théoricien du « Nouveau Réalisme ». En 1957, celui-ci dirige son catalogue d’exposition à la Galerie Kamer, avant de publier plus tard plusieurs ouvrages de référence sur Hundertwasser. Les relations de l’artiste avec son « cher Restany<ref>Lettre de Hundertwasser à Pierre Restany, 1990</ref> » perdurent au-delà des années 1990.
À cette période, Hundertwasser crée une véritable sensation dans les avant-gardes de Saint-Germain-des-Prés et remporte un succès incontestable dans les grandes galeries. Pour le catalogue de son exposition au Studio Facchetti<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb12493448t</ref> (1954), filant la métaphore de la bicyclette, il rédige un manifeste dont la thématique peut être considérée comme la pierre angulaire de son œuvre : La ligne droite mène à l’effondrement<ref>Hundertwasser 1983, 64-65</ref>. En 1954, avec Brô et Yves Klein<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb120471634</ref> (1928-1962), il fait la connaissance de Pierre Restany<ref>https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb11921608x</ref> (1930-2003), critique et théoricien du « Nouveau Réalisme ». En 1957, celui-ci dirige son catalogue d’exposition à la Galerie Kamer, avant de publier plus tard plusieurs ouvrages de référence sur Hundertwasser. Les relations de l’artiste avec son « cher Restany<ref>Lettre de Hundertwasser à Pierre Restany, 1990</ref> » perdurent au-delà des années 1990.



Version du 18 décembre 2024 à 15:11

Hundertwasser avant l'ouverture de son exposition au Studio Facchetti, Paris, 1954 (Photo d'Augustin Dumage) © 2024 Hundertwasser Archiv, Wien

L’œuvre de Friedensreich Hundertwasser Regentag Dunkelbunt (15 décembre 1928 à Vienne, † mort le 19 février 2000 à bord du Queen Elizabeth 2), nom d’artiste de Friedrich Stowasser, est multiforme. Artiste emblématique de l’Autriche du XXe siècle, peintre au style unique fondé sur les couleurs vibrantes et la spirale, il milite pour la protection de la nature et la défense de l’environnement. Développant des concepts visionnaires, il les met en œuvre dans son architecture humaniste. Ses nombreux écrits (poésie, prose, écrits théoriques, pamphlets, manifestes, etc.) accompagnent ses réalisations. Sa dynamique créative s’enracine dans ses liens avec des artistes et avant-gardistes français, ainsi que dans ses séjours réguliers en France, notamment dans sa fermette de la Picaudière, près de Nogent-le-Rotrou (Perche).


Biographie

En 1948, étudiant aux Beaux-Arts de Vienne, Hundertwasser déclare à son condisciple Ernst Fuchs[1] (1930-2015) : « [...] Oui, oui, il faut absolument que nous allions à Paris, tu sais, là-bas, on nous comprendra[2] ». Interrompant sa formation, il entreprend un voyage en Italie, fondateur à plus d’un titre, car au-delà̀ des découvertes artistiques se produit en 1949 une rencontre cruciale : « Je n’étais qu’un petit Autrichien insignifiant lorsque je rencontrai Brô, Micheline et Bernard en Toscane[3] ». L’artiste observe qu’ils « étaient absolument différents de tous les autres mortels […] ». Leur apparence « n’avait en soi rien du pittoresque bohème, mais avait le sérieux du pionnier d’un monde meilleur, infiniment plus beau et plus juste[4] ». Une amitié très forte lie aussitôt Hundertwasser et René Brault, dit Brô[5] (1930-1986). Ce peintre français à la « richesse d’imagination performante, vestimentaire, picturale, philosophique et littéraire, et [aux] performances humaines[6] » exerce une influence considérable sur la philosophie de vie de Hundertwasser. Cela se manifeste notamment dans l’économie des matériaux utilisés et sa revendication d'un mode de vie précaire. Cette influence s'étend également à son art : « Car à ce moment, ma vie a vraiment commencé́. Je leur dois ma naissance comme peintre[7] ». Hundertwasser opte alors pour son nom d’artiste et suit son nouvel ami à Paris. Pendant sept ans, la famille Dumage, amie de Brô, héberge gratuitement Hundertwasser dans sa propriété à Saint-Mandé-sur-Seine. Sous l’influence des fresques admirées en Toscane, les deux amis y réalisent ensemble deux grandes peintures murales. En 1955, Hundertwasser y produit son œuvre emblématique Le grand chemin – Der große Weg (Österreichische Galerie, Belvedere, Vienne). Il travaille également dans l’atelier de Brô, impasse des Sureaux, à Saint-Maurice. Afin de rejoindre les galeries de peinture, Hundertwasser emprunte une bicyclette aux Dumage : « J’aime les bicyclettes, parce qu’à Paris, durant quatre ans, j’ai circulé partout en vélo[8] ». Ce moyen de transport va nourrir sa réflexion esthético-philosophique.

Hundertwasser avec ses œuvres avant l'ouverture de son exposition au Studio Facchetti, Paris, 1954 (Photo d'Augustin Dumage) © 2024 Hundertwasser Archiv, Wien

À cette période, Hundertwasser crée une véritable sensation dans les avant-gardes de Saint-Germain-des-Prés et remporte un succès incontestable dans les grandes galeries. Pour le catalogue de son exposition au Studio Facchetti[9] (1954), filant la métaphore de la bicyclette, il rédige un manifeste dont la thématique peut être considérée comme la pierre angulaire de son œuvre : La ligne droite mène à l’effondrement[10]. En 1954, avec Brô et Yves Klein[11] (1928-1962), il fait la connaissance de Pierre Restany[12] (1930-2003), critique et théoricien du « Nouveau Réalisme ». En 1957, celui-ci dirige son catalogue d’exposition à la Galerie Kamer, avant de publier plus tard plusieurs ouvrages de référence sur Hundertwasser. Les relations de l’artiste avec son « cher Restany[13] » perdurent au-delà des années 1990.

La Picaudière © Photographie de Marie-Hélène Hérault Bibault, 31 juillet 2012
La Picaudière © Photographie de Marie-Hélène Hérault Bibault, 31 juillet 2012

Au printemps 1957, enrichi de ses premiers succès, notamment à la Galerie Kamer, Hundertwasser achète avec Brô La Picaudière, située à Saint-Jean-de-la-Forêt (Orne). Il est bientôt l’unique propriétaire de cette fermette en pierres isolée et sans confort que, selon ses convictions, il ne rénove pas. Ne s’en séparant jamais, il y revient régulièrement, puisqu’elle entre en résonance avec sa philosophie de vie : « Après des années, j'ai à nouveau passé plusieurs mois à La Picaudière, dans les murs épais de la vieille ferme, près du poêle à bois et de la cheminée. Un chemin creux au milieu des marronniers, des chênes et des charmes mène de chez mon voisin Goudet à la maison. En traversant les champs on peut aller jusqu'au village de Saint-Jean-de-la-Forêt chercher du lait frais, aujourd'hui encore dans un pot à lait. C'est une France comme il n'y en a peut-être plus ailleurs[14] ». La Picaudière est intimement liée à sa créativité : Hundertwasser y peint 114 œuvres, y met en forme des manifestes et actions pour la défense de l’environnement. Il y teste, si ce n’est les « arbres-locataires », du moins les toits végétalisés. En son absence, ses voisins Goudet, sa « famille française », veillent sur les 10 000 arbres qu’il y a plantés.

En 1957 encore, Yves Klein et Hundertwasser rédigent ensemble le manifeste Contre le style. Ils mènent simultanément des recherches de coloristes. Yves Klein découvre en 1960 son fameux International Klein Blue (IKB) en travaillant avec Brô et Hundertwasser. Ce dernier est l’élément moteur car il lui a transmis les leçons de son « livre de chevet », Le matériel de peinture et son utilisation en image du peintre allemand Max Doerner[15] (1870-1939)[16]. Ainsi, les artistes se livrent au broyage des pigments purs qu’ils achètent dans la boutique d'un droguiste industriel, Carbonel, situé en face de Notre-Dame[17]. Les principaux écrivains de la Beat Generation s’installent bientôt à Paris et en 1958, avec le poète, écrivain et peintre Henri Michaux[18] (1899-1984), ils débattent des effets de la mescaline sur le psychisme. Parallèlement, des neuropsychiatres de l’hôpital Sainte-Anne cherchent à approfondir les processus de création en expérimentant sur des peintres la psilocybine, nouvelle substance thérapeutique. Hundertwasser n’est pas officiellement convié, mais Alain Jouffroy[19] (1928-2015), poète et écrivain de l’avant-garde, lui propose de peindre sous l’influence du produit. L’expérience doit se dérouler dans l’hôpital où le psychiatre, réalisateur et scénariste Enrico Fulchignoni[20] (1913-1988) tourne en 1950 Images de la folie[21]. Fin 1952, à l’Université de Vienne, l’artiste connaît l’épiphanie de la spirale en voyant ce documentaire qui le renvoie à lui-même, à l’univers. C’est sans doute la raison pour laquelle il se prête au jeu : « Il organiserait ensuite une exposition avec les tableaux de peintres célèbres, qui seraient élaborés sous l’influence de cette drogue nouvelle, entre autres Michaux, Picasso et moi. J’acceptais, car cela devait avoir lieu sous contrôle médical, et il m’emmena tout de suite à l’Hôpital Sainte Anne (là où Fulchignoni avait tourné le film de la spirale, qui m’a tant influencé).[22] ». L’artiste crée deux aquarelles durant cette expérimentation qui lui laisse un mauvais souvenir.

En 1960, le plasticien et écrivain Jean-Jacques Lebel[23] (1936-) et Jouffroy, dans le cadre de l’Antiprocès, invitent Hundertwasser à manifester contre la guerre d’Algérie et la torture. À la galerie des Quatre Saisons, parmi une cinquantaine de peintres et d’écrivains, l’artiste se livre à un happening où il expose ses théories tout en distribuant sa célèbre soupe aux orties. Georges Pompidou[24] (1911-1974), grand amateur d’art contemporain, s’intéresse à son travail : « Raymond Cordier, mon marchand parisien, avait vendu deux tableaux à Georges Pompidou, avant qu’il ne soit Premier ministre. […] Avec la somme de la revente d’une œuvre, [les Pompidou achètent] un domaine à la campagne dans le département du Lot, où je fus invité.[25] ». Pompidou le reçoit plus tard « au Palais présidentiel, [où] à la présence des œuvres d’art s’ajoutaient celles des artistes comme Hundertwasser qui, avec ses allures très ‘artiste écologique’ effrayait un peu les huissiers de l’Élysée.[26] ». S’il entreprend ensuite de nombreux voyages autour du monde, c’est sur l’île de Porquerolles que Hundertwasser passe l’été 1980 à peindre.

Révélé à lui-même par un peintre français, Hundertwasser se réjouit de voir son art reconnu sur la scène artistique parisienne. Son attachement à la France se manifeste dans ses retours réguliers et dans ses amitiés fidèles. Il se traduit encore par sa maîtrise du français : textes, titres d’œuvres, entretiens. L’intérêt est réciproque : en 1975, le Musée d'art moderne de la Ville de Paris est la première étape de son exposition itinérante mondiale L’Autriche présente Hundertwasser aux continents.

Références et liens externes

Bibliographie

Littérature primaire

  • Fürst, Andrea Christa : Hundertwasser - Werkverzeichnis - Catalogue Raisonné, Vol. II, Cologne, Londres, Madrid, New York, Paris, Tokyo : Taschen Verlag 2002.
  • Hundertwasser, Brô, 1996, consulté le 11/03/2018. Disponible sur http://hundertwasser.com/de/haeute/identitaet/55-kuenstler-freunde-und-weggefaehrten/128-bro
  • Hundertwasser, Friedensreich : Hundertwasser - Schöne Wege. Gedanken über Kunst und Leben, 35 Tage Schweden (1964), Walter Schurian (dir.), Munich : dtv-kunst 1983.
  • Lettre de Hundertwasser à Pierre Restany au sujet de l’exposition de Séoul, 1990, Archives de la critique d’art (ACA, Rennes), Fonds RESTANY XVII-2.

Littérature secondaire

  • «  Autour d'une collection » - Le Président et Madame Georges Pompidou - à l’occasion de la commémoration du XXe anniversaire de la mort du Président Georges Pompidou, Maison des arts Georges Pompidou, Cajarc/Lot, juillet-août 1994.
  • Biographie de Brô, [s.d.], consulté le 10/06/2024, disponible sur http://bro.chez-alice.fr/Biographie.htm.
  • Fleck, Robert : Hundertwassers malerische Aktualität. In : Ingeborg Flagge (dir.) : Friedensreich Hundertwasser : ein Sonntagsarchitekt : gebaute Träume und Sehnsüchte. Frankfurt am Main : Die Galerie, Deutsches Architekturmuseum 2005, p. 98-99.
  • Koschatzky, Walter, Fuchs, Ernst, Brauer, Erich : Friedrich Stowasser, 1943-1949. Wien, Stuttgart, Albertina : Cicero 1974.
  • Pessey-Lux, Audrey : Hommage à Hundertwasser 1928-2000, Joram Harel (dir.). Alençon : Éditions du Musée des beaux-arts et de la dentelle d'Alençon 2001.

Auteur

Marie-Hélène Hérault Bibault

Mise en ligne : 18/06/2024